12.4 C
Paris
mercredi, octobre 4, 2023

Condoléances internationales après le coup d’Etat au Niger

Date:

La communauté internationale condamne fermement le coup d’État au Niger

Le général Abdourahamane Tiani, chef de la garde présidentielle, a récemment renversé le président élu Mohamed Bazoum par un coup d’État au Niger. Cette action a provoqué de vives réactions sur la scène internationale, condamnant unanimement cet acte.

L’Union européenne refuse de reconnaître les autorités issues du putsch

L’Union européenne a déclaré qu’elle ne reconnaîtrait pas les autorités qui ont pris le pouvoir à la suite du coup d’État au Niger. Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne, a affirmé que le président élu démocratiquement, Mohamed Bazoum, reste le seul président légitime. L’UE a également décidé de suspendre immédiatement sa coopération sécuritaire avec le Niger.

L’Union africaine exige le rétablissement de l’autorité constitutionnelle

L’Union africaine a demandé le retour de l’autorité constitutionnelle dans un délai de quinze jours. Elle exige des militaires le retrait immédiat et sans condition dans leurs casernes, appelant ainsi au respect de l’ordre démocratique et constitutionnel.

La France condamne fermement le coup d’État

Le président français Emmanuel Macron a conDamné le coup d’État au Niger « avec la plus grande fermeté ». La France refuse également de reconnaître les nouvelles autorités mises en place après ce putsch. Le chef de l’État présidera un conseil de défense et de sécurité nationale pour discuter de cette situation.

Les États-Unis assurent leur soutien au président élu

Le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a assuré au président Mohamed Bazoum de l’indéfectible soutien des États-Unis lors d’un appel téléphonique. Il a souligné que ce coup d’État mettait en péril l’aide financière de plusieurs millions de dollars, mais que les États-Unis travailleraient pour rétablir l’ordre constitutionnel et la gouvernance démocratique au Niger.

Ce coup d’État au Niger suscite une forte condamnation de la part de la communauté internationale. L’UE, l’UA, la France et les États-Unis sont unanimes à refuser de reconnaître les nouvelles autorités et à exiger le retour de l’ordre constitutionnel dans le pays.

Sur le meme sujet

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici