La France candidate pour rejoindre l’Organisation du traité de coopération amazonienne
Le président français, Emmanuel Macron, a annoncé que la France souhaite rejoindre l’Organisation du traité de coopération amazonienne. Il a justifié cette décision en soulignant que la France est « une puissance amazonienne à travers la Guyane ». Le président a exprimé son souhait d’expliquer comment financer l’Amazonie lors du dernier sommet régional au Brésil, auquel il n’a pas pu participer.
La Guyane française représentera la France au sein de l’organisation
Emmanuel Macron a déclaré que cette candidature offrirait à la France « une représentation associant étroitement la Guyane française ». L’Organisation du traité de coopération amazonienne a été créée en 1995 dans le but de préserver la biodiversité de la région amazonienne, qui abrite environ 10% de la biodiversité mondiale. Actuellement, huit pays sont membres de l’organisation, notamment le Brésil, la Bolivie, la Colombie, l’Equateur, le Guyana, le Pérou, le Suriname et le Venezuela.
Un sommet pour lutter contre la déforestation
Lors du dernier sommet de l’Organisation du traité de coopération amazonienne, qui s’est tenu en août à Belém au Brésil, les pays membres ont créé une « alliance » pour lutter contre la déforestation. Emmanuel Macron a exprimé son souhait que le Brésil et les autres pays de la région acceptent la candidature de la France et lui permettent d’intégrer ce format.
En rejoignant cette organisation, la France pourra contribuer à la préservation de la biodiversité de l’Amazonie tout en travaillant de concert avec les pays membres pour lutter contre la déforestation.
Une démarche soutenue par une forte implication environnementale
La candidature de la France pour rejoindre l’Organisation du traité de coopération amazonienne s’inscrit dans la volonté du pays de s’impliquer davantage dans la protection de l’environnement. En effet, la France a récemment pris des mesures pour lutter contre la déforestation importée et pour protéger les forêts tropicales. Cette nouvelle initiative renforce l’engagement du pays en faveur de la préservation de la nature et de la lutte contre les changements climatiques.
En somme, la candidature de la France pour rejoindre l’Organisation du traité de coopération amazonienne marque une volonté politique de préserver la biodiversité de l’Amazonie et de lutter contre la déforestation. Cette démarche témoigne de l’engagement de la France en faveur de la protection de l’environnement et de la coopération internationale pour faire face aux défis environnementaux mondiaux.