Emmanuel Macron accusé d’abandonner la police par le député RN Laurent Jacobelli
Le député Rassemblement national de Moselle, Laurent Jacobelli, a affirmé que le président Emmanuel Macron avait abandonné la police dans cette nouvelle controverse. Alors que les policiers se sont mobilisés et sont descendus dans la rue pour exprimer leur colère suite à la détention d’un collègue à Marseille soupçonné de violences sur un jeune homme en marge des émeutes, Emmanuel Macron n’a pas montré suffisamment de soutien envers les forces de l’ordre.
Le manque de soutien d’Emmanuel Macron critiqué
Laurent Jacobelli a critiqué le manque de soutien du président de la République envers les forces de l’ordre. Selon lui, Emmanuel Macron a immédiatement condamné un policier avant même que la justice ne prononce un jugement, ce qui a contribué à alimenter la colère des policiers. Jacobelli souligne également le manque de reconnaissance de l’autorité suprême qu’incarne le président de la République.
Des policiers en colère
Pour exprimer leur grogne, les policiers ont utilisé plusieurs stratégies, dont une « grève du zèle » et des arrêts-maladie. Laurent Jacobelli ne souhaite pas juger ces actions, mais met en garde contre le risque de détérioration de la confiance entre la police et la population. Il rappelle que de nombreux policiers souffrent et qu’il y a un taux élevé de suicides dans la profession.
L’inversion des valeurs et la condescendance envers les voyous
Laurent Jacobelli dénonce une inversion des valeurs dans la société, où les voyous sont plus compris et soutenus que les policiers. Il estime que cette situation est intolérable pour les Français, mais surtout pour les policiers.
Le débat politique
Laurent Jacobelli place rapidement le débat sur le terrain politique en critiquant la vision de La France insoumise. Il s’oppose à l’idée que les policiers soient systématiquement considérés comme coupables et les voyous comme innocents.
En conclusion, le député RN Laurent Jacobelli accuse le président Emmanuel Macron d’avoir abandonné la police en rase campagne. Selon lui, cela a contribué à la colère des policiers, qui estiment ne pas recevoir suffisamment de soutien et de reconnaissance de leur hiérarchie. Cette situation est jugée inacceptable par Jacobelli, qui souligne l’inversion des valeurs dans la société actuelle.