Marine Lloris accuse les urgences de la polyclinique de Saint-Jean à Cagnes-sur-Mer de refuser de la soigner
Accusations de refus de soins
Marine Lloris, compagne du footballeur Hugo Lloris, a récemment affirmé sur Instagram avoir été refusée des soins dans la polyclinique de Saint-Jean à Cagnes-sur-Mer. Elle s’est rendue dans cet établissement dans la nuit du jeudi au vendredi dernier en raison d’une grave allergie. Cependant, la clinique aurait refusé de la soigner car elle n’avait pas de carte Vitale et par crainte de ne pas être payée. Marine Lloris déplore cette expérience en affirmant ne pas se sentir à sa place dans son pays et dans sa ville natale.
Réponse de la clinique
Alexandra Cittadini, présidente et directrice générale de la polyclinique de Saint-Jean, a tenu à répondre aux accusations dans une interview accordée au Figaro. Selon elle, au moment de l’arrivée de Marine Lloris à la clinique, il y avait déjà douze patients, dont cinq en situation instable et un dans un état critique. La clinique aurait informé Madame Lloris qu’elle ne pourrait pas être prise en charge immédiatement, mais celle-ci aurait préféré partir. Alexandra Cittadini affirme également que Marine Lloris aurait eu un comportement agressif envers le personnel. Concernant l’absence de carte Vitale, la directrice de la clinique affirme que tous les patients sont acceptés, même ceux qui ne sont pas en possession de papiers ou de carte Vitale. Marine Lloris conteste cette version des faits.
Marine Lloris maintient sa version
Sur Instagram, Marine Lloris a maintenu sa version des faits. Elle affirme qu’à son arrivée à la clinique, il n’y avait qu’une seule personne en salle d’attente. Elle aurait expliqué son problème à l’accueil et aurait immédiatement informé les interlocutrices de son absence de numéro d’assuré social en tant que résidente en Angleterre. Selon elle, le personnel lui aurait alors répondu qu’il ne pouvait pas la recevoir ni la soigner sans ce numéro. Marine Lloris dément avoir été vue par le personnel hospitalier et nie avoir décliné son identité. Elle considère que la direction de la clinique l’attaque personnellement et remet en doute sa parole injustement.