Titre : Niger : la Cédéao menace d’une intervention militaire si le président n’est pas rétabli
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Au Niger, les putschistes ont jusqu’à minuit dimanche 6 août pour rétablir le président déchu, sous peine de subir une opération militaire.
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La Cédéao, qui regroupe les États d’Afrique de l’Ouest, a exprimé sa volonté d’intervenir pour rétablir la démocratie au Niger.
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Les 1 500 militaires français présents au Niger suscitent des interrogations quant à leur rôle dans cette crise politique.
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Des partisans des putschistes expriment leur hostilité envers la France et brandissent le drapeau russe.
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La position de la Cédéao divise ses membres quant à l’opportunité d’une intervention militaire.
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Spécialiste de l’Afrique, Antoine Glaser souligne la fermeté du président nigérian, à la tête de la Cédéao, envers les putschistes.
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La menace d’intervention militaire de la Cédéao soulève des interrogations sur sa capacité à mettre en œuvre cette opération.
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La France se retrouve au centre des débats en raison de la présence de ses militaires au Niger.
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La population nigérienne est divisée entre ceux qui soutiennent les putschistes et ceux qui appellent à un retour à la démocratie.
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Finalement, l’issue de la crise au Niger dépendra de la réaction des putschistes face à l’ultimatum de la Cédéao.
Conclusion
La situation au Niger est tendue, avec la menace d’une intervention militaire de la Cédéao si la junte ne rétablit pas le président démocratiquement élu. La présence des militaires français et les divisions au sein de la population nigérienne ajoutent à la complexité de la crise. L’avenir du pays dépendra en grande partie de la capacité de la Cédéao à mettre en œuvre sa menace et de la réaction des putschistes.