Le président LR de la région Auvergne-Rhône-Alpes condamne le déchaînement de violences
Un rejet de la vision de la France
Dans un contexte où les émeutes semblent s’atténuer, le président Laurent Wauquiez a pris la parole pour condamner les actes de violence. Selon lui, « ce n’est pas l’idée que l’on se fait de la France ». Rappelant que neuf Français sur dix condamnent ces violences, Wauquiez estime que le moment est venu de s’exprimer clairement sur le sujet.
Un hommage aux forces de l’ordre et des institutions
Wauquiez a également tenu à rendre hommage aux forces de l’ordre, qui ont affronté une violence sans précédent motivée par la haine des institutions françaises. Il déplore également le fait que certains médias et politiques aient trouvé des excuses pour les délinquants et accusé injustement les forces de l’ordre.
Des questions sur les sanctions judiciaires
Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes a soulevé diverses questions concernant les sanctions judiciaires. Il se demande combien d’affaires seront jugées, quelle sera la gravité des peines et surtout si celles-ci seront réellement exécutées. Wauquiez estime qu’il est crucial que la justice réponde à ces questions pour mériter son nom.
Une sanction privative de liberté pour toute atteinte à l’intégrité physique
Selon Wauquiez, toute atteinte à l’intégrité physique doit être suivie d’une sanction privative de liberté. Il rejette l’argument selon lequel une grande partie des délinquants sont des mineurs, en affirmant que s’ils sont assez barbares pour commettre ces actes, alors ils sont suffisamment âgés pour être lourdement sanctionnés.
La nécessité pour la France de ne pas se soumettre
Le président conclut en affirmant que pour mettre fin à cette spirale de violence, la France doit cesser de se soumettre et de baisser la tête. Il appelle à une fermeté face aux actes de délinquance et à une réponse claire de la justice pour restaurer l’ordre et la sécurité dans le pays.